Pourcentage des investisseurs particuliers qui perdent de l’argent en bourse
La bourse serait-elle compliquée ou les conseillers seraient-ils nuls ?
Ce sont les investisseurs et leurs conseillers qui la rendent compliquée
La bourse n’est pas compliquée
Dans la mesure où :
- Vous avez une méthode
- Votre méthode est simple
- Vous en respectez les règles
- Vous êtes patient et discipliné
- Vous excluez tout l'environnement parasite qui gravite autour des activités financières, vidéos, presse, conseils en tout genre quel que soit l'origine, banquier, courtiers, conseillers, amis, etc., ils ne vous font pas seulement perdre de l'argent mais également beaucoup de temps.
Travaillez avec une méthode simple en respectant les règles, rien de plus facile
Exclure l'environnement médiatique n'est peut-être pas évident avec toutes ces sollicitations, mais c'est absolument indispensable.
Tous ces acteurs vous présentent régulièrement des scénarios qui n'apportent rien, sinon créer des doutes.
Présenter des scénarios met à l'abri de critiques.
On a l'impression qu'ils transmettent la théorie de leurs études, très rapidement vous connaissez le niveau de leurs études et la nature de leurs diplômes, ce qui leur permet de paraître crédibles et de pratiquer des tarifs prohibitifs.
L'autodidacte qui réussit s'est beaucoup investi, il travaille avec bon sens, il est discipliné, patient,
Il a su acquérir la pleine confiance indispensable.
« La simplicité est la sophistication suprême »
Si la simplicité peut être entendue comme une forme de stupidité, elle est ici posée par de Léonard de Vinci comme synonyme de sophistication, autrement dit de complexité.
La simplicité est souvent difficile à atteindre mais pourtant nécessaire. La complexité implique pesanteur, lenteur et génère du stress : parvenir à ne conserver que l’essentiel peut alors être salutaire !
Si la simplicité est difficile à atteindre, elle reste un objectif.
En bourse, Nicolas DARVAS est un exemple de simplicité. Il n’utilisait aucun indicateur, ni aucune figure technique. Il savait lire les cotations. Il ne disposait pas de l’informatique.
La question qui se pose : pour quelles raisons s’embarrasser de toutes ces figures techniques largement interprétées ? Alors que les cours ne dessinent que des creux et des sommets. Toutes les figures techniques sont constituées de creux et de sommets.
Une tasse avec anse n’est rien d’autre qu’un double creux ascendant. Une tête et épaules inversées également.
On doit se poser également la questions pour les indicateurs. Combien sont inutiles ? Nicolas DARVAS n’en utilisait aucun.
Les méthodes de Zenbourse « Investisseur » et « Intraday »
Nos méthodes simples sont basées sur le bon sens. Pas de figures chartistes ni n’indicateurs. Elles s’apparentent à la méthode de Nicolas Darvas.
Elles ont fait au préalable d’une étude statistique considérée comme un prérequis absolument obligatoire. Nous avons analysé sur une période d’une année 1000 valeurs, dont environ 300 présentaient des caractéristiques communes. 300 était suffisant pour élaborer une méthode. Ce n’était pas du backtesting mais bien une analyse visuelle valeur par valeur. Un backtesting n’aurait été d’aucune utilité.